Aude consulte car elle est sujette à une anxiété généralisée se manifestant par des crises d’angoisses fréquentes.
Les trois premières séances sont espacées de 3 semaines.
Au cours de la 1ère séance, je recueille des informations sur son histoire et ses symptômes précis.
Puis, sous hypnose, je l’invite à lâcher prise à partir de la métaphore du bateau sur la mer.
Aude, qui garde toujours le contrôle, montre des résistances : elle se détend difficilement.
La 2ème séance consiste en une régression en âge, avec comme objectif d’identifier et traiter les situations du passé en lien avec les émotions négative du présent. Aude se détend plus facilement que la première fois.
Deux souvenirs remontent : une scène en lien avec l’infidélité de son mari et une hospitalisation mal vécue. Nous apportons sous hypnose les ressources destinées à neutraliser les émotions ressenties.
De retour pour notre 3ème séance, Aude indique qu’elle a ressenti quelques vertiges et palpitations mais qui sont passés facilement ; elle dit avoir été plus sereine en général.
Nous reprenons la régression en âge. Aude décrit plusieurs situations, à différents âges, où elle a peur de s’évanouir. Nous les traitons comme dans la séance 2.
Puis elle se met à pleurer. Je la fais se « dissocier » de la scène qu’elle est en train de revivre en l’amenant dans son lieu « refuge » (défini avec elle au préalable) pendant que le « film » se déroule ; nous gérons ainsi le traumatisme. Elle retrouve son calme.
Au réveil, Aude raconte qu’elle s’est ressentie bébé, à l’époque où elle a contracté une bactérie qui a failli lui couter la vie.
Nous nous voyons un mois plus tard ; elle dit aller beaucoup mieux. Elle n’a plus « l’angoisse d’angoisser » et a eu, au cours du mois, seulement deux ou trois petits « inconforts » au moment du coucher.
La séance 4 vise à pérenniser l’état de sérénité retrouvé.
Depuis, Aude se sent mieux ; si elle a encore parfois quelques symptômes d'angoisse, elle les gère plus facilement. Elle dit qu'elle se sent "plus forte".
Marie-Pierre souhaite perdre 5 à 6 kilos, installés à la ménopause. Elle n’a pas d’activité professionnelle.
Elle « se trouve moche » dans le miroir et désire retrouver sa silhouette.
Elle s’alimente de façon plutôt équilibrée mais grignote beaucoup en fin de matinée, surtout du pain et du fromage, et en fin d’après-midi.
Pendant la 1ère séance, je lui suggère, en hypnose, de se libérer de l’inconfort de tout ce qui lui pèse, au sens propre comme au figuré. Je valide ainsi sa bonne réceptivité.
La séance 2 a lieu la semaine suivante. Nous faisons une « futurisation », négative puis positive : il s’agit pour la consultante de s’imaginer dans un futur où elle aurait continué à prendre du poids, puis dans un avenir où elle a atteint son objectif de minceur. Puis nous faisons un travail hypnotique axé sur le grignotage.
De retour une semaine plus tard pour la séance 3, Marie-Pierre m’informe qu’elle n’a pas eu faim le soir de la séance et n’a pas grignoté de toute la semaine.
A la fin de cette 3ème hypnose, basée sur les programmations alimentaires, Marie-Pierre éprouve un très gros chagrin : elle pleure comme une petite fille. Je la laisse se libérer de « tout le poids » et revenir à l’éveil quand elle se sent prête. Au retour, elle indique qu’elle était dans l’escalier de ses parents, et qu’elle a vu son père (décédé) ; elle a senti une odeur d’hôpital.
Nous convenons de nous revoir dans un mois.
Un mois plus tard, Marie-Pierre a perdu 2 kilos. Elle dit ne plus grignoter du tout et être à satiété plus rapidement.
La séance 4, juste avant Noël, est consacrée à la « confiance en soi ».
Deux semaines après, Marie-Pierre a encore perdu 400 g, malgré les fêtes de fin d’année où la nourriture a été plus riche.
Elle ne fait plus aucun grignotage, et n’a pris qu’une part de sa bûche au chocolat « maison » qu’elle mangeait habituellement en entier. Naturellement, sans volonté particulière. Elle s’est trouvée également plus affirmée auprès de son entourage.
Cette 5ème séance est destinée à pérenniser ses nouveaux comportements, pour l'atteinte complète de son objectif.
Coralie consulte pour anxiété généralisée avec attaques de panique : sensation d’étouffement, accélération du rythme cardiaque, douleur thoracique. Elle parle d’une « terreur » ressentie. Elle est dans le cercle vicieux de « la peur de la peur ».
Au cours de la 1ère séance, sous hypnose, je lui suggère un lâcher-prise en la faisant dériver sur une rivière.
Coralie se sent plus apaisée pendant les trois semaines qui suivent.
Néanmoins la 2ème séance l’angoisse et à sa demande, nous n’allons pas plus loin que la relaxation hypnotique.
De retour pour notre 3ème séance, Coralie me raconte un rêve qu’elle a fait après la consultation à propos de gestes malaisants sur sa personne à la préadolescence.
Je l’invite, sous hypnose, à « rencontrer son enfant intérieur ».
La séance 4 consiste en une régression en âge, avec comme objectif d’identifier et traiter les situations du passé en lien avec les émotions négative du présent.
Plusieurs souvenirs agréables sont évoqués, puis nous nous arrêtons sur l’âge de 15 ans : Coralie a la sensation de tourner sur la droite et la tête qui tourne. Nous « explorons » cette période, rien ne se présente.
Au réveil, Coralie m’indique avoir vu une jeune femme apprêtée comme dans l’ancien temps.
Je la retrouve 3 semaines plus tard. Elle décrit un changement de ses symptômes : elle n’a plus la sensation d’étouffer et le cœur qui s’emballe, mais une crispation dans la mâchoire et la nuque accompagnée d’un mal de tête.
La régression de la séance 4 n’ayant rien mis en évidence, nous pratiquons, en séance 5, une technique visant à « enjamber » une situation traumatique (en l’occurrence, supposée), en créant une sorte de parenthèse amnésiante. Un des effets attendus est de stopper les croyances limitantes formées après l’expérience marquante pour en créer de nouvelles, avec des nouveaux comportements.
Je donne également à Coralie un outil pour désactiver les symptômes d’angoisse au moment de leur survenue.
Un mois après, Coralie revient avec le sourire : « c’est magique, cela fait du bien ». Elle n’a plus de symptômes d’angoisse, plus de douleurs à la tête. Surtout, elle n’a plus « ces mauvaises idées qui tournent en rond : et si…et si… ».
La séance 6 vise à pérenniser l’état de sérénité retrouvé.
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